Ballet de la Merlaison

Le Ballet de la Merlaison, bijou baroque par excellence, où l’on découvre un Louis XIII à la légèreté insoupçonnée, danseur, poète, musicien, artiste accompli et comédien facétieux. Son audace à «créer son ballet» – il se travestit et danse avec humour parmi ses compagnons – excite notre imagination à la fantaisie de l’époque.

Ce qui est fascinant dans ce ballet, c’est la plongée dans un monde disparu que réussit à imposer Christine Bayle, avec un sens très pointu d’une interprétation possible de cette pièce… L’écriture chorégraphique va du sérieux au plus burlesque. C’est une formidable aventure poétique , que l’on connaisse ou non la danse baroque…

Philippe du Vignal, Théâtre du Blog

Du côté de la musique, saluons le magnifique travail de Patrick Blanc, qui sut retrouver l’espritdubaletdecour, par une instrumentation subtile, truffée de coquetteries amusantes —figuralisme du pépiement des oiseaux, joli usage du basson lors de l’entrée du Roi et de la servante…

Clément Rochefort, La Lettre du Musicien

L’imagination chez le duo Bayle-Blanc, complices de création depuis vingt ans, baigne dans une érudition solide…

Rosita Boisseau, Le Monde

 

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